Etat d’Avancement
l’objectif spécifique de ce projet est de renforcer la capacité des institutions de formation forestière et environnementale d’Afrique centrale afin qu’elles soient en mesure de former un personnel qualifié pour la mise en œuvre de la gestion durable des forêts (GDF) tout en assurant la conservation de la biodiversité dans le bassin du Congo.
Pour atteindre ces objectifs, trois produits sont attendus.
Produit 1 : Six (6) modules ou programmes de formation de référence harmonisés en gestion durable des forêts, élaborés, revus, adaptés et mis en œuvre, en prenant en compte la conservation de la biodiversité dans le cadre du programme de travail de la CDB sur la biodiversité forestière
Produit 2 : Cent dix (110) formateurs à plein temps et cent soixante-dix (170) formateurs vacataires ou à temps partiel dans sept (7) institutions membres fondatrices du RIFFEAC formés ou recyclés à l’utilisation des équipements et matériels acquis pour le renforcement des capacités, en relation avec les six (6) programmes ou modules d’enseignement devant être finalisés dans le cadre du Produit 1
Produit 3 : Équipements et matériels de formation et d’enseignement acquis et fournis à chaque institution de formation, et amélioration des infrastructures (salles de classe, laboratoires et autres installations), en accord avec les besoins de chaque institution de formation, en vue de combler progressivement le déficit annuel de centre quatre-vingt (180) ingénieurs et quatre cent quarante (440) techniciens supérieurs forestiers requis pour les actions de gestion durable des forêts et de conservation de la biodiversité dans les pays du Bassin du Congo.
L’année 2012 a été consacrée à la signature de l’accord de mise en œuvre du projet et au démarrage des activités.
Les activités suivantes ont été menées.
Elaboration de six modules de formation de référence pour les niveaux techniques et universitaires et leurs méthodologies d’opérationnalisation dans les institutions de formation
Deuxième réunion du comité directeur du projet en octobre 2013 au siège du RIFFEAC avec pour objectif le suivi de l’état d’avancement du Projet et surtout la prise en compte des recommandations formulées lors du premier comité directeur
Adoption des modules de formation par la COMIFAC en présence des responsables des institutions membres, les représentants des sociétés forestières, les partenaires techniques et financiers.
Enquête en vue de finaliser les listes des équipements et matériels didactiques convenant aux institutions membres
Réunion du troisième comité directeur du projet en novembre 2014 pendant laquelle les membres ont vérifié si les recommandation émises jusque là ont été suivi d’effet. A l’issue de cette réunion certaines recommandations ont été reconduites et de nouvelles recommandations ont été formulées. En resumé, les deux premières années de mise en œuvre du Projet OIBT456/07 Rév.4 (F), ont été aux consacrées à la réalisation des produits 1 et 2 relatifs à l’élaboration des modules de formation de référence en aménagement forestier, ainsi que leurs méthodologies d’opérationnalisation et à la formation des formateurs. Au cours de la troisième année, un accent est mis sur le produit 3, particulièrement sur son activité 1 : « Enquête en vue de finaliser les listes des équipements et matériels didactiques convenant aux sept institutions membres du RIFFEAC » bénéficiaires de ce projet. Les responsables des 7 institutions bénéficiaires ont chacun en ce qui concerne son institution actualisé les listes des besoins. Il convient de rappeler les sept institutions de formation, bénéficiaires du Projet OIBT. 1. Le Centre régional d’enseignement spécialisé en agriculture forêt-bois (CRESA) (Cameroun) ; 2. La Faculté d’agronomie et des sciences agricoles de l’Université de Dschang (FASA) (Cameroun) 3. L’Ecole Nationale des Eaux et Forêts de Mbalmayo (ENEF-M) (Cameroun); 4. L’Ecole Nationale des Eaux et Forêts (ENEF-G) (Gabon); 5. L’Ecole Nationale d’Agronomie et de Foresterie (ENSAF) (Congo); 6. L’Ecole régionale postuniversitaire d’aménagement et de gestion intégrée des forêts et territoires tropicaux (ERAIFT) (République Démocratique du Congo). 7. L’Institut Supérieur de Développement Rural (ISDR) (République Centrafricaine). Après deux réunions de concertations avec les responsables des institutions relatives aux acquisitions du Projet, les fiches d’enquêtes ont été mises à la disposition des responsables des institutions bénéficiaires pour :
Actualiser la liste des besoins ;
Fournir des plans détaillés de la construction/réhabilitation sollicité avec devis estimatifs ;
La marque du véhicule sollicitée avec toutes les spécifications et le coût ;
La liste des équipements, matériels et accessoires informatiques avec toutes les spécifications et le coût estimatifs ;
La liste des équipements et matériels forestiers avec toutes les spécifications et les coûts estimatifs. De l’analyse des fiches d’enquête, il ressort que les besoins des institutions de formation varient d’une institution à l’autre, de l’acquisition de véhicules (matériel roulant), aux équipements et matériels informatiques, et aux équipements et matériels forestiers. La principale difficulté rencontrée est liée au changement des responsables de certaines institutions qui ont quelquefois des visions différentes de celles de leurs prédécesseurs et par conséquent expriment des besoins autres. L’ajustement des besoins au budget alloué a quelque peu retardé le processus d’établissement des besoins.
- – Signature à Yaoundé et à Douala de l’accord de mise en œuvre du projet par le Secrétaire Exécutif de l’Organisation Internationale des Bois Tropicaux (OIBT), le Secrétaire Exécutif de la Commission des forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) et le Président du Conseil d’Administration du Réseau des Institutions de Formation Forestière et Environnementale d’Afrique Centrale (RIFFEAC).
- – Atelier de démarrage du projet tenu à Yaoundé qui a permis de créer les conditions favorables pour un bon démarrage et une bonne gestion ultérieure du projet
- – Formation des Groupes Thématiques de Travail (GTT) pour chacun des six modules retenus et lancement des travaux de ces GTT.
- – Choix et négociation des interventions de la sous-traitance pour l’élaboration des six modules et la méthodologie de leur opérationnalisation.
- – Première réunion du Comité Directeur du projet tenu à Yaoundé en octobre 212, qui a permis d’examiner l’état d’avancement et les finances du projet afin de formuler des recommandations pour la bonne marche du projet
- – Réception d’avis de non objection à la signature du contrat avec la sous-traitance.
- – Signature du contrat de sous-traitance.
Elaboration de six modules de formation de référence pour les niveaux techniques et universitaires et leurs méthodologies d’opérationnalisation dans les institutions de formation
Deuxième réunion du comité directeur du projet en octobre 2013 au siège du RIFFEAC avec pour objectif le suivi de l’état d’avancement du Projet et surtout la prise en compte des recommandations formulées lors du premier comité directeur
Adoption des modules de formation par la COMIFAC en présence des responsables des institutions membres, les représentants des sociétés forestières, les partenaires techniques et financiers.
Enquête en vue de finaliser les listes des équipements et matériels didactiques convenant aux institutions membres
Réunion du troisième comité directeur du projet en novembre 2014 pendant laquelle les membres ont vérifié si les recommandation émises jusque là ont été suivi d’effet. A l’issue de cette réunion certaines recommandations ont été reconduites et de nouvelles recommandations ont été formulées. En resumé, les deux premières années de mise en œuvre du Projet OIBT456/07 Rév.4 (F), ont été aux consacrées à la réalisation des produits 1 et 2 relatifs à l’élaboration des modules de formation de référence en aménagement forestier, ainsi que leurs méthodologies d’opérationnalisation et à la formation des formateurs. Au cours de la troisième année, un accent est mis sur le produit 3, particulièrement sur son activité 1 : « Enquête en vue de finaliser les listes des équipements et matériels didactiques convenant aux sept institutions membres du RIFFEAC » bénéficiaires de ce projet. Les responsables des 7 institutions bénéficiaires ont chacun en ce qui concerne son institution actualisé les listes des besoins. Il convient de rappeler les sept institutions de formation, bénéficiaires du Projet OIBT. 1. Le Centre régional d’enseignement spécialisé en agriculture forêt-bois (CRESA) (Cameroun) ; 2. La Faculté d’agronomie et des sciences agricoles de l’Université de Dschang (FASA) (Cameroun) 3. L’Ecole Nationale des Eaux et Forêts de Mbalmayo (ENEF-M) (Cameroun); 4. L’Ecole Nationale des Eaux et Forêts (ENEF-G) (Gabon); 5. L’Ecole Nationale d’Agronomie et de Foresterie (ENSAF) (Congo); 6. L’Ecole régionale postuniversitaire d’aménagement et de gestion intégrée des forêts et territoires tropicaux (ERAIFT) (République Démocratique du Congo). 7. L’Institut Supérieur de Développement Rural (ISDR) (République Centrafricaine). Après deux réunions de concertations avec les responsables des institutions relatives aux acquisitions du Projet, les fiches d’enquêtes ont été mises à la disposition des responsables des institutions bénéficiaires pour :
Actualiser la liste des besoins ;
Fournir des plans détaillés de la construction/réhabilitation sollicité avec devis estimatifs ;
La marque du véhicule sollicitée avec toutes les spécifications et le coût ;
La liste des équipements, matériels et accessoires informatiques avec toutes les spécifications et le coût estimatifs ;
La liste des équipements et matériels forestiers avec toutes les spécifications et les coûts estimatifs. De l’analyse des fiches d’enquête, il ressort que les besoins des institutions de formation varient d’une institution à l’autre, de l’acquisition de véhicules (matériel roulant), aux équipements et matériels informatiques, et aux équipements et matériels forestiers. La principale difficulté rencontrée est liée au changement des responsables de certaines institutions qui ont quelquefois des visions différentes de celles de leurs prédécesseurs et par conséquent expriment des besoins autres. L’ajustement des besoins au budget alloué a quelque peu retardé le processus d’établissement des besoins.